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Saturday, January 28, 2012

Etre invité à Davos, ça coûte cher !

Le Forum économique mondial, qui ouvre ses portes ce 26 janvier dans la station des Grisons, aura pour thème : "Des normes communes pour la nouvelle réalité". Parmi les 2 500 participants attendus à cette 41e édition, 1 400 sont des patrons. Ils ont payé fort cher leur présence.

26.01.2011 | Andrew Ross Sorkin | The New York Times

Le forum de Davos s'est ouvert le 26 janvier 2011.
Le forum de Davos s'est ouvert le 26 janvier 2011.
Chefs d'entreprise, responsables politiques et universitaires du monde entier se retrouvent à partir du 26 janvier à Davos, dans les Alpes suisses, pour le traditionnel Forum économique mondial - un rendez-vous enivrant qui mélange affaires, politique et champagne. L'événement attire une vaste palette de décideurs, du PDG de la banque JPMorgan au chanteur Bono, en passant par Georges Papandréou, le Premier ministre grec, qui viennent réfléchir à des solutions aux problèmes du monde. Bien entendu, la semaine sera en réalité consacrée pour l'essentiel à une chose : le "réseautage".
Mais pour les dirigeants d'entreprises, être un homme - ou, d'accord, une femme- de Davos n'est pas vraiment bon marché. Avoir la possibilité d'être invité dans la station grisonne suppose d'être invité à adhérer au Forum économique mondial, une organisation suisse à but non-lucratif fondée par Klaus Schwab, un universitaire d'origine allemande qui a réussi à mettre sur pied une conférence mondiale dans la neige.
Il existe plusieurs niveaux d'adhésion : le premier coûte 50 000 francs suisses [38 600 euros]. S'y ajoute le billet d'entrée à 18 000 francs [13 900 euros], ce qui porte le prix total à 68 000 francs [52 500 euros].
Cette somme ne vous donne accès qu'aux séances destinées aux masses. Si vous voulez aussi participer aux réunions privées avec vos pairs, vous devez passer au niveau Industry Associate. L'adhésion coûte alors l'équivalent de 100 000 euros, auxquels il faut ajouter le billet d'entrée, ce qui porte le tout à environ 114 000 euros.
Comme la plupart des patrons n'aiment pas se déplacer tout seuls, ils se font parfois accompagner par un collègue. Mais il ne suffit pas, dans ce cas, d'acheter un billet supplémentaire :  il faut passer au niveau Industry Partner, qui vous coûtera la modique somme de 192 000 euros, auxquels vous rajouterez les deux tickets d'entrée, ce qui vous mène à près de 220 000 euros.
Et si vous voulez venir avec une suite, disons, de cinq personnes ? Là, il faut passer au niveau Strategic Partner - 385 000 euros. Ce n'est qu'une adhésion annuelle qui vous donne droit à cinq invitations maximum. Bien entendu, il faut quand même payer les billets, donc si vous êtes cinq, vous débourserez 454 000 euros. Cette année tous les Strategic Partners sont priés d'inviter au moins une femme pour diversifier la liste des participants.
Tous ces frais ne comprennent évidemment pas le voyage jusqu'en Suisse, les sorties et peut-être l'organisation d'un dîner ou d'un cocktail (car c'est là que ça se passe vraiment). La voiture et le chauffeur réservés par le Forum coûtent dans les 7 300 euros pour la semaine pour une Mercedes Classe S. L'hélicoptère de l'aéroport de Zurich à Davos ? environ 2 500 euros. Le Forum dispose toutefois d'un service de bus gratuit pour ceux qui se soucient de leur empreinte écologique.
Les grandes soirées, comme celle que Google donnera le 28 janvier, peuvent coûter jusqu'à 182 000 euros. L'an dernier, la société avait fait venir par avion l'orchestre et les barmen et lors d'une édition précédente, elle avait ouvert un bar à oxygène. Grâce à toutes ces dépenses, le Forum économique mondial est devenu une grosse entreprise. Selon son rapport annuel, il réalise environ 135 millions d'euros de chiffre d'affaires dont il dépense quasiment la totalité. (En gros, la moitié du budget est consacrée aux évènements et l'autre moitié, au personnel).
Mais toutes ces largesses seront peut-être bientôt passées de mode. L'un des participants, David Rothkopf [consultant, chercheur et commentateur américain], a écrit récemment sur son blog : "Toute cette entreprise est en train de s'étioler pour plusieurs raisons, toutes liées au fait que Davos se prête mal au réseautage."
Et d'ajouter : "Steve Case, le fondateur d'AOL, m'a dit un jour, alors qu'on était au bar, au milieu du brouhaha du principal centre de conférence : 'On a toujours l'impression de ne pas être au bon endroit à Davos, qu'une réunion plus intéressante a lieu quelque part dans un hôtel, et que c'est là qu'on devrait être. C'est comme si le vrai Davos se déroulait en secret quelque part.'"

Wednesday, January 25, 2012

Réponse du COMITE DE GRADUATION DE LA PROMOTION ROBERT BLANC après le controversé du choix de Jn Claude Duvalier, Parrain de leur Promotion.


     REPUBLIQUE D’HATI

           MENFP



ECOLE DE DROIT ET DES SCIENCES ECONOMIQUES DES GONAIVES
COMITE DE GRADUATION DE LA PROMOTION ROBERT BLANC (2007-2011)de


LETTRE OUVERTE AUX MEMBRES DU RECTORAT DE L’UNIVERSITE D’ETAT D’HAITI



Messieurs les membres du Conseil Exécutif
de l’Université d’Etat d’Haïti,

Nous, signataires, de la présente, étudiantes et étudiants finissants de la quatrième année de l’Ecole de Droit et des Sciences Economiques des Gonaïves, de la promotion sortante Robert BLANC, avons pris lecture d’une note, pour le moins surprenante, publiée sur le site de « ALTER PRESSE », relatant une prise de position du Conseil Exécutif de l’Université d’Etat d’Haïti et portant la signature du recteur Jean-Vernet HENRY.  

En effet, on y lit entre autre ce qui suit :
« Le Conseil Exécutif de l’Université d’Etat d’Haïti ( C.E.U.E.H ) condamne avec fermeté la présence de l’ancien président à vie Jean-Claude DUVALIER comme invité d’honneur à une cérémonie de graduation d’une promotion de finissants de l’Ecole de Droit, des Sciences Economiques et de Gestion ( E.D.S.E.G ) des Gonaïves ( nord ) » ( sic ).
De plus, ajoute ladite note, la direction de cette unité d’enseignement relevant de l’U.E.H est convoquée pour le 28 Décembre à 11 heures par devant le Conseil Exécutif, suivant une lettre du (C.E.U.E.H) datée du 19 décembre et adressée à la direction de cette école. (sic)

Le comble, le recteur Vernet HENRY, signataire de la lettre, toujours selon ‘’ ALTER PRESSE ‘’, fait remarquer qu’il est inconcevable qu’une école de droit ait cautionné la participation de ce « personnage »  à une telle cérémonie. Il rappelle également les démêlés judiciaires actuels de l’ancien Président  inculpé pour des faits à lui reprochés sur plainte de certains citoyens ; que ce choix, selon lui est une grave offense à la philosophie, aux valeurs et idéaux gestionnaires de cette école qui relève de l’Université d’Etat d’Haïti, gardienne et protectrice des libertés publiques ».

Usant de notre droit de réponse, d’autant que le Rectorat, encore moins le recteur, n’a ni droit ni qualité de nous indiquer l’orientation de notre choix, nous saisissons cette occasion pour attirer votre attention sur les points suivants qui nous ont servi de motivations dans le choix de l’ancien président Jean-Claude DUVALIER, comme parrain de notre promotion et qui, à nos yeux, quoique vous pensiez, quoique vous disiez, force l’admiration et le respect.  D’entrée de jeu, mentionnons qu’aucune disposition constitutionnelle, aucun texte de loi ne dresse le profil de la personnalité que les étudiants devront choisir comme parrain,- ceci étant laissé entièrement à notre discrétion en tant qu’étudiantes et étudiants.  

Le droit positif haïtien issu de la famille juridique romano-germanique, consacre, en matière pénale, le principe sacro-saint de la présomption d’innocence. Il est donc inutile de vous réjouir du fait que notre parrain choisi soit l’objet d’une inculpation au cabinet d’instruction, comme vous vous plaisez à l’écrire en grande lettre dans votre note. Sachez une fois pour toutes qu’il est présumé innocent, tant que la justice n’aura pas rendu à son encontre un jugement de condamnation.


Parmi tous les dirigeants qui se sont succédés à la tête de l’Etat au cours de ces quarante dernières années, l’ancien président Jean-Claude DUVALIER est l’un des rares sinon le seul chef d’Etat à avoir toujours souscrit au respect scrupuleux des fortes valeurs nationales, le seul à n’avoir jamais démérité des héros de 1804 et, par-dessus tout, à avoir remis intact le legs sacré de l’indépendance et de la souveraineté nationale à son départ, le 7 Février 1986. La mémoire collective se rappelle vingt cinq ans après, au souvenir du climat de sécurité, de cohésion sociale, de travail, de joie de vivre et des nombreuses réalisations que d’autres après lui se sont évertués à détruire systématiquement. Et ceci, pour nous, compense largement les fautes et errements auxquels, il avait pu se laisser aller.  L’erreur est humaine !


Nous, filles et fils de la cité de l’indépendance, nés sur la terre gonaivienne située dans le Haut Artibonite sacré, sommes plus que fiers de l’avoir choisi et avons été honorés de sa présence comme parrain de notre promotion. En comparant le pays qu’il nous avait laissé avec celui d’aujourd’hui détruit, avili et meurtri par la faute de ses détracteurs, de ceux qui l’avaient combattu hier, Dieu et l’Histoire lui rendent déjà justice. N’est-il pas vrai que les grands hommes d’Etat n’ont que Dieu et l’Histoire pour juges !


2- Nous exprimons ici notre réprobation contre le fait que vous, membres du Rectorat, avez osé convoquer les membres de la Direction de l’Ecole pour répondre d’un acte que nous autres, étudiantes et étudiants, majeurs, vaccinés et responsables, avons délibérément et consciemment posé, après mures réflexions et usant l’un de nos droits les plus fondamentaux : celui de choisir librement. Ainsi nous avons fait montre de notre capacité  de discernement, de questionnement et fait ce choix  qui vous prend à la gorge justement pour avoir été bafoués au cours de ces vingt-cinq dernières années par des dirigeants trop peu soucieux de l’intérêt national et qui s’érigent en plus en donneurs de leçons. Il eut été peut être souhaitable pour vous, que notre choix fut porté sur vos propres modèles, ceux-là qui, dans un passé récent, ont livré notre pays aux mains des étrangers, ont demandé l’embargo, ont sans aucun gêne appelé à l’intervention, ont permis qu’une armée étrangère vienne souiller le sol sacré d’Haïti, dans le but de régler un conflit entre Haïtiens, entre les tenants d’une même famille.
Vous, qui aviez supporté, sans mot dire, les dérives d’un pouvoir rétrograde et barbare. Vous, qui vous êtes fait complices de crimes odieux en applaudissant  des deux mains le supplice du collier. O  éternels « conzés » de l’Histoire, destructeurs de notre nation que jadis, notre bien aimé empereur, Jean-Jacques DESSALINES le grand, pourchassait !  Ces « conzés » de l’Histoire, disons-nous, auteurs du drame de Pont Rouge. Vous avez interdit de citer son nom pendant quarante ans !  C’est seulement quarante ans après, Lysius Félicité SALOMON JEUNE osait en la Cathédrale des Cayes, malgré la censure imposée par des “Conzés” de l’époque, rendre un vibrant hommage au père fondateur. Vingt cinq ans après, nous étudiantes et étudiants de l’école de droit et des sciences économiques des Gonaïves, avons tenu à notre façon rendre hommage à l’ancien président Jean-Claude DUVALIER.


Nous savons que cela déplairait à certains “Conzés” !


Le Rectorat de l’Université d’Etat d’Haïti, institution prestigieuse, a connu dans le temps, précisément sous le gouvernement de ce ‘’ personnage ‘’ comme vous l’avez écrit, des recteurs d’une autre dimension : Léonce VIAUD, Raoul PIERRE-LOUIS, René PIQUION, Jean-Baptiste ROMAIN pour ne citer que ceux-là. Des hommes de grande culture, prestigieux, de haute moralité qui faisaient honneur à notre intelligentsia, partout dans le monde et à notre société. Ils ont dirigé cette Institution à une époque où l’on était encore sensible  aux valeurs intellectuelles, civiques et très soucieux de la bonne formation académique des jeunes.


Vous oubliez déjà que c’est sous le gouvernement de ce  « personnage » que l’équivalence était accordée aux diplômés haïtiens tant en Droit qu’en Médecine et dans les autres disciplines ? Vous avez une idée aujourd’hui du niveau du diplôme que vous nous offrez ! En vous assurant que vos propres enfants aient accès aux Universités étrangères… Et comme cela, continuera la perpétuation de deux sociétés en Haïti : les fils de nantis et  ceux des démunis ! Les intelligents et les « analphabètes pa bête »,  les fils et petits fils des membres du conseil et les fils de ceux-là dont les pères sont restés en Afrique !  Voilà ce que vous prônez ! Et c’est ce que vous reprochez à Duvalier, pour reprendre le terme de l’un de vos paires :         «  d’avoir popularisé l’Université » qui devrait être réservée aux enfants des nantis! Messieurs,  après cette dégringolade de nos valeurs à laquelle vous avez participé au cours de ces vingt cinq dernières années, si vous êtes des croyants, allez faire pénitence et demandez pardon au Très Haut d’avoir participé à cette destruction physiquement et par le mensonge ! Et surtout l’hypocrisie… Vous êtes radicalement mal placés pour porter un jugement de valeur…

  
Nous, jeunes universitaires de la cité de l’indépendance, conscients de la situation dégradante de notre pays, sommes désormais appelés à rejoindre dans la course, toutes celles et tous ceux qui luttent inlassablement pour l’établissement d’un état de droit en Haïti. Nous nous donnons pour mission de renverser l’ordre des choses au bénéfice des uns et des autres, sans parti pris aucun, en dehors du cercle néfaste de la division prôné malheureusement par certains de nos compatriotes et particulièrement certains ainés dont la face cachée n’a jamais été révélée au grand jour et qu’on devrait commencer à identifier pour le grand public !


Ce n’est que récemment, à la faveur d’une polémique sur l’installation d’une bibliothèque à Mirebalais qui porte le nom de feu Madame Max Adolphe qu’on a pu faire tomber le masque de l’un d’entre vous qui pourtant criait au sacrilège, par la voix de sa femme ! Celui-là qui siège avec vous au conseil, qui convoque, qui signe des communiqués pour jeter l’anathème sur l’ancien président à vie a été élevé et éduqué par cette même Mme Max Adolphe grâce à qui il siège aujourd’hui au conseil de l’Université d’Etat d’Haïti… Alors de grâce ! Ne nous obligez pas à dire à chacun de vous qui vous êtes !


Monsieur le Recteur, messieurs les membres du Conseil exécutif de l’Université d’Etat d’Haïti, puissiez vous vous ressaisir et rejoindre les hommes et les femmes de bonne volonté pour que s’accomplisse la grande réconciliation nationale, indispensable et incontournable, si vous accordez vraiment de l’importance à ce petit coin de terre qui est notre, que nos vaillants ancêtres nous ont légué au prix de nombreux sacrifices.


                                             Fait aux Gonaïves, le 17 Janvier 2012


Pour  le  Comité :  

Sunday, January 15, 2012

Allocution de Bienvenue de Mirvaldy Joseph, durant la Cérémonie de La signature du Protocole de Jumelage Santiago -Cap ...



                                                      Hostellerie Roi Henry Christophe,  Cap-Haïtien, Haïti 10 Janvier 2012
  
Distingué Maire du Cap-Haitien,  Mr Wilbrode Beon.
Très Estimé Maire de Santiago, Dr Gilberto Serulle
Invités, amis,



Aujourd’hui, Il est pour moi un immense honneur de prendre la parole, non pas pour l’opportunité de pouvoir m’adresser à un public aussi selecte comme vous, sinon parce que l’histoire a voulu que je sois témoins et un humble acteur dans la matérialisation d’une initiative qui marquera l’histoire de ces deux villes Santiago – Cap-Haitien, jadis simple amie aujourd’hui proche famille.

Just’avant, il est d’ultime importance que nous formulons un remerciement à toutes les instances qui ont facilité la réalisation de cet évènement. Un grand Merci à Mr Wilbrode Béon et à Dr Gilberto Serulle, respectivement Maire du Cap-Haitien et Maire de Santiago, sans l’ouverture de l’esprit et la vision de ces deux hommes, désormais membre distingué d’une partie de l’histoire de cette île, cet évènement ne serait pas lieu.

Merci à un homme comme Ing. José Charles Alegría, l’un des auteurs Intellectuels le plus déterminé, au secrétaire général Ramón Pichardo. 
Le consulat haïtien de Santiago, Les Chambre de Commerce du Cap et de Santiago. Le staff technique de la Mairie du Cap et la présidentdes festivités culturelles du Cap, Natacha Gomez.


Cette Initiative matérialisée représente un message anticipé, de que ces deux pays doivent être inéluctablement coude à coude pour définir un destin dans l’entraide, le respect et la convivialité saine.  L’avenir appartient à ceux qui savent anticiper. Regarder et comprendre le Présent avec des yeux et l’esprit du Futur. Le monde sera trop Multipolaire pour qu’on ne s’attende pas à ce que le futur soit sous le control de ceux qui par anticipation ont pris le devant pour créer des Block harmonieux dans le respect sans condition des différences, des cultures, traditions et des convictions.

L’avenir ne sera plus conditionné par l’immensité du territoire et la Magnificence de l’armée d’un pays sinon dans la maitrise de ce que les anglo-saxons appellent “TOUCH” -(Contact). Voyez-vous comment se présentent les gadgets électroniques  maintenant?
Ceux qui auront la sagesse de créer  ou de faire partie du plus grand “Touch Block”, seront les Ténors de l’avenir...



Dans ce contexte, il est crucial que nous anticipions et commencions à voir le Présent avec un regard du Futur. Préparons-nous et Soyons prêt pour l’avenir... Oublions les détails que nous avons perdus dans le passé, ce passé de frustration et de rancœur.
Ce passé qui nous empêche de se regarder dans les yeux et vivre ensemble sans hypocrisie.
 Prenons le Monde là où il est. Construisons ensemble par anticipation un futur de Grandeur pour nos enfants. Commençons ensemble notre plan d’indépendance dans le pétrole, investissons ensemble dans la bioénergie et dans l’énergie renouvelable. Luttons ensemble pour une Education plus Digital avec une présence plus agressive et une maitrise plus déterminée de la Technologie de l’information et de la communication. Que plus de bourses d’étude soient octroyées  dans la Nanotechnologie, la Touch-technologie et les Mathématiques avancées. Enseignons du Chinois et d’espagnol dans nos écoles, elles seront les langues Universelles du futur... Travaillons pour ce Monde du demain.


Les Maitres de ce monde endoctrinent leurs enfants et leurs jeunes leaders de deux concepts “Construire” - “Anticiper”.

Alors, enseignons nos fils à ne plus s’attarder sur le passé, ceci bien qu’utile parfois pour la mémoire, crée souventefois trop de frustration, de rancœur, de malentendu et de division jusqu’à Haine injustifiée. Ces sentiments mal-conditionnent les présents et hypothèquent les Futurs à destruction certaine.
La taille d’un leader se mesure en fonction de la grandeur du futur qu’il a su construire dans son présent et non le contraire.

Mesdames, Messieurs...
Aujourd’hui on vient d’anticiper, on a construit un Futur au présent et gommé un passé...

Maintenant préparons-nous, nous les capois, à ce que le Cap reçoit dans moins de 10ans le Forum Economique qui a eu lieu à Port-au-Prince deux fois suivies. Sur 30ans, travaillons à faire de la République d’Haïti et la République Dominicaine, une puissance Incontournable de la Caraïbes. Dans 50ans une force Stratégique incontestable des membres décisifs de la Force que représentera le “Touch Block” des pays de l’Amérique du Futur et dans 100ans pour qu’on commence, bien sur, à parler de nous comme “Les puissants Alliés” ...

Oui, on peut car On a la force et la Volonté d’être différents de ce que nous fumes Hier…
L’unique conditions requises maintenant: Construire - Anticiper - Oublier les erreurs passées au profit des Exploits du Future Et enfin “Quedense concentrados juntos sobre el Futuro.”


Sur ces mots, je vous déclare Bienvenue à cette Cérémonie.

Friday, January 13, 2012

Opening the Door to the Person You Were Meant To Be...

       What motivates you into making the evolutionary leap into God-Man?  Perhaps the of idea Power and Success sounds exciting.

      Success an power come from something I call downstream focus.  Downstream focus happens when your thoughts naturally flow back to your work, even in the evenings the weekends. If thinking about your works, especially in the evenings and on the weekends, is an upstream battle (as it is for most), you will not be a major success because for those elite few who make it to the top in your field, thinking about work is a natural downstream rush. They pass right by you to the power positions.
                
     Do you feel the Tug to get back to your livelihood – after work an on weekend? I'm not talking about external deadlines, but internal desire?  If not, you're swimming upstream, and I can guarantee you will not experience major success ... because there are people in line of your work who are pulled back to it. They may be the owners, or they may be your peers who will rise beyond You. Is watching TV, a basketball or soccer game, hanging out with friends hard to pull away from in your evenings? Those are indicators that you have not experienced what I call downstream focus to success.
              Every person has a door inside that opens to the opens he or she was meant. That person, once the door, lives every with natural downstream focus and soars to mayor success. Today, you must open within you.
   Without discovering and opening that door, you will never soar. It is a depressing thought to have live but never Soar.

Wednesday, January 11, 2012

Fais-je Cavalier-seul dans mes Realisations?

 Pensez –vous que j’ai réalisé seul mes projets? J
Je suis de ceux qui pensent que l’entraide et le travail en équipe est tout ce qui conditionne la réalisation d’un projet, d‘un but. Au cours de ces dernières années, je me suis mis ardûment à travailler dans le social, avec des modestes moyens qui sont à ma disposition, c’est à dire mon cerveau, mon audace, des amis qui me donnent des idées, et parfois même mes propres  petits moyens économiques.  Ma vision des choses et ma conviction ont toujours été la force qui me pousse vers ces actions,  et ensuite cette obsession d’être un modèle dans ma famille,  satisfaire et rendre fière une mère pauvre et célibataire qui a tout perdu à cause d’un enfant unique. Et aussi cette idée de pouvoir inspirer à d‘autres jeunes de mon âge de travailler pour son pays sans rien à attendre en retour. Qu’on peut être à la fois un intellectuel et un homme avec les pieds sur terre, proche de son pays, de sa culture et de son peuple. Qu’il est possible de travailler à La Fossette avec des enfants pauvres, et en même temps à Auberge du Picolet avec des riches entrepreneurs sans cesser d’être au service d’une cause ou poursuivre un rêve. Mais jamais au grand jamais mon idée fut d’avoir un bénéfice économique quelconque ou de travailler à briller seul.
Car je sais que ce n’est pas facile d’être Seul face à sa liste de tâches, seul face à ses responsabilités, seul face à ses échecs.  Je suis toujours quelqu’un qui lutte contre l’individualisme stérile et médiocre qui caractérise le leadership de notre société. Dans aucun de mes projets, j’ai été seul.  Mais maintenant il y a lieu de demander et définir comment j’ai constitué mon équipe.
Faire une équipe dépend d’une ouverture d’esprit dénuée de toute forme de discrimination ou complexe. Une équipe est fragile, sa construction est longue, c’est un construit humain où chaque individu à son importance. Un seul élément peut détruire cet équilibre instable tel un château de cartes.  L’un des faits que nous remarquons souvent c’est une tendance à se laisser tenter par l’idée de former une équipe avec seulement des gens de son âge, de son université, de sa sale de classe, d’anciens collègues. En sommes on a tendance à préférer des personnes qu'on connait déjà.  Alors qu’En réalité, c'est la nature et l'ampleur du travail à réaliser, la qualification et l’intérêt des personnages qui doivent conditionner le choix des co-équipiers.  Car un travail nécessite de chaque membre une certaine disponibilité, un sens de l'organisation élevéet que chacun voit et définit personnellement clair pourquoi il est important pour lui d’atteindre le but de l’équipe.


Dans les équipes, il faut éviter de choisir ses co-équipiers sur des critères sentimentaux, afin de réduire les figurants et les oisifs.  Il faut des gens efficaces qui comprennent l’idée et qui sont disposées à apporter leurs « Pierres » personnelles à l’édifice (c’est dire, il faut que celui-ci dispose pour le moins d’une Pierre). L’édifice, c’est la matérialisation du but, clair et partagé, et le tout sous un leadership approprié.

Mes co-équipiers, je les trouve partout. Je les cherche partout, J’écris des amis et inconnus sur facebook pour demander des avis, conseils et référence. Parfois je voyage pour aller chercher mes co-équipiers selon l’ampleur et la nécessité du projet. Car je veux toujours un dream Team.


Je me souviens deux ans de cela, pour un projet de Création de Parlement de Jeunesse de l’Ile (dominico-haitien), j’ai voyagé de Santiago jusqu’à Port-au-Prince pour aller trouver des co-équipiers habiles dotant déjà d’une certaine expérience dans le domaine (Alexandre Telfort, a l’époque Président du Gouvernement Jeunesse,  Chenet Torrilus, un autre collegue) et des dominicains Jose Luis de Los Santos (Président du Parlement jeunesse dominicain de l’époque) accompagné d’autres  membres de ce même parlement,  Projet qui m’a valu un prix de Reconnaissance du Parlement dominicain “Légions d’honneur de Leadership Juvénile International” et  titre  honorifique d’Ambassadeur du Gouvernement de Jeunesse haïtien.

En Aout dernier,  pour un projet de Bidonville “Tounwa edikasyon Tipoto”, je suis allé, laissant Santiago, jusqu’à la Fossette, une bidonville du Cap, pour constituer mon équipe. Là, j’ai recrute 6 jeunes dont deux musulmans qui voulaient exposer leur savoir faire  et amplifier leur crédibilité de leadership dans leur quartier, et moi j’ai financé le petit projet de mon propre compte (quelque chose que j’avais pour celebrer mon Anniversaire, « 15 Aout »).


Dans l’équipe du  dernier projet du Jumelage Cap-Haïtien Santiago, j’étais le plus jeune.
Mon équipe à été constitué de deux vieillards  Jose Charles Alegria (65ans), Ramon Pichardo (68ans), un entrepreneur dominicain, et ensuite j’ai voyagé (chômant mes obligations à l’hôpital) jusqu’au Cap pour constituer une équipe technique,  ce qui fut facile grâce à l’ouverture de l’esprit du Maire, et la bonne foi d’une amie entrepreneur bien connue de la Ville…

Et ceux,  sans compter les équipes que j’ai constituées avec mes proches comme fut le cas pour « le Prix Jean Price Mars »,  « Haïti in Green » et autres.






En sommes, je crois et j’aime travailler en équipe. Et tout ce que j’ai fait, ils ont réussi grâce à un Groupe.  Ma conception d’équipe est large, variée complexe et aussi audacieuse que Moi.  Je ne fais pas d''équipe pour le plaisir de "Faire équipe"  ... Voilà ce qui conditionne la réussite de mes réalisations.


 Mais les questions maintenant :              
“Mirvaldy aime-t-il les Associations?”  “Aime-t-il les groupes ou l’on passe des éternelles  heures à faire des comités,  à discuter  « Qui doit être le Président,  Qui est le Leader ou de quoi parlera-t-on dans la prochaine réunion?”  « Mirvaldy, se donne-il à des groupe qui passent des jours et des nuits à chercher des sponsors et des organisations pour réaliser un petit projet” «  Mirvaldy, aime-t-il travailler avec les mêmes équipes ? »
 Ca, je l’ignore.

Ce dont j’en suis sûr,  Je suis un homme de conviction  et de foi, avec des faiblesses et défauts comme tous les jeunes de mon âge.  Je ne travaille pas pour briller, ou par ambition du pouvoir sinon pour atterrir mes idéaux et mes principes afin qu’ils soient au service de ma patrie.  J’expose mes réalisations sur Facebook pour pouvoir inspirer  à d’autres qu’il y a plein de choses qu’on peut faire sans avoir une association ou organisation, ou sans se courber à des formalité de Bureaucratie qui décourage l’enthousiasme.  Qu’on peut vivre en République Dominicaine sans se laisser coincer par l’idée de Victimisation ou du Racisme. J’expose mes photos pour lutter contre cette idée saugrenue que les étudiants en République Dominicaine sont des Fêtards, qui ne font que gaspiller l’argent de leurs parents sans rien faire de Positifs.  Je combats avec mon Facebook l’idée de que les jeunes qui vivent à l’extérieur ne savent et ne font rien pour leur pays.
 Enfin pour terminer, laissez-moi vous dire que Je suis convaincu que la transformation de notre Pays ne peut pas l’œuvre d’un seul homme  sinon de la participation d’hommes, de  femmes et de jeunes qui décident de faire leur la destinée de ce pays délabré.  Aucune Importance sur la forme  ou avec qui on travaille, pourvu que toute l’œuvre s’oriente dans l’intérêt General de tous les Haïtiens.

                  Prix  "Légion d'honneur pour Leadership Juvénile International" en République dominicaine