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Saturday, January 29, 2011

Le Visa Des Consulats Etrangers, Un Remede Efficace Contre Le Nationalisme Haitien. Karl-Henry Louis Pericles




**Le Pouvoir Des Mots Et Les Maux Du Pouvoir. Le Visa Des Consulats Etrangers, Un Remede Efficace Contre Le Nationalisme Haitien. La Loi du Visa...


L'homme Haitien, non pas seulement nos politiciens haitiens, aiment tellement la notion du "VISA" des ambassades etrangeres ou des consulats etrangers. Ainsi, meme quand ils sont devenus par "NATURALISATION (U.S. Citizen, Canadian Citizen, French Citizen...)" des Citoyens dans les pays du GRAND NORD ou dans n'importe quel autre pays europeen (Le Tricolore Etoile=U.S.A. et La Feuille D'Erable=CANADA, le tricolore bleu, blanc et rouge= France) quand ils entendent le mot "VISA", qui, n'est point sans nul doute le frere siamois de "MASTERCARD", ils ne chantent plus la "DESSALINIENNE".

Le faux Nationalisme chez l'homme haitien peut etre vu a l'oeil nu sans avoir recours au microscope...par le biais d'un simple bout de papier le V.I.S.A. La loi Du Visa est la plus puissante LOI que toutes les CONSTITUTIONS HAITIENNES (De 1801 par Toussaint Louverture jusqu'a la dite constitution de 1987) qu'Haiti ait eue...

A suivre...

Pour La TRIBUNE DE LA JEUNESSE HAITIENNE.

Tuesday, January 25, 2011

Reflexion sur la Mort

« Je ne sais pas ce qui m’inquiète à propos de la mort : sans doute les horaires. »Woody Allen

Depuis la nuit des temps, La profondeur de la mort a toujours hanté l’esprit de l’homme, y compris le mien. Il est perçu comme étant un prétendu néant où se perd l’inconnu inaccessible au commun des vivants. Un sphère où la pensée se confond á l’Être pour se libérer de l’enfer. Un nouvel horizon où Soleil et Lune se joignent pour compromettre leur flot de lumière au profit des ténèbres et insuffle “vie” á l’inertie.


La   Mort effraie  l’Homme. On craint tous les mystères révélant impénétrables. Cependant, prenant un peu de distance, on  se rendra á l’évidence que la mort survient quand le corps n'est plus capable de résister aux assauts de ce chapitre d’existence. Une fois ce mystérieux rôle inconnu dans la Vie, épuisé, l’au-delà invite á passer á un autre  concept de l’existence, une autre dimension, vers d’autres horizons... 

Combien indiscernable soit cette diabolisation infernale de la mort! Combien sont-ils les communs des mortels qui y sont déjà revenus nous confirmer la douleur qui l’identifie. Combien sont-elles les âmes humaines qui n'ignorent les véritables tissus des entrailles de la Mort?

L’existence compte autant plus d’aspects insondables qu’il n’ait de grains de sables sur les rivages. Notre myopie sur les circonstances du réel abstrait assimile la mort á un simple “cesser d’exister” comme si la nuit, vulgairement considérer absence du jour, ne serait pas des vingt quatre (24) heures d’une journée.…

La mort est plus que tout un nouveau départ. Quand est venue son heure, des phénomènes surgissent á canaliser son dessein. Elle ne s’accomplie jamais avant ou après qu’il en soit le temps. Personne ne meurt sans que son horloge ne soit  sonné, et encore moins l’échapper quand il est temps de partir.

C'était en Haïti le 12 janvier 2010, Une jeune femme assistait á une conférence que donait son Mari. Elle était assis avec de ses enfants. Un appel inconnu, son téléphone sonna.  D'habitude, elle ne répond jamais d'appel quand elle est à une réunion ou à une conférence, sauf ce jour-la. Elle laissa la salle pour repondre à une personne trompée de numéro.  Sur le point de regagner la salle -“4:53 pm”, pas une minute avant pas une minute après, Le  terre secoue. a famille coincée pérît á l’intérieur, elle la seule survivante. Est-ce par hasard?  Ou simplement l’horloge n’est pas encore sonné ?

Autant d’histoires étranges sur l’exploit et la façon avec laquelle opèrent les glaives de la Mort. Tout ceci justifie qu’on ne meurt jamais ni trop tôt ni trop tard, mais au moment précis.

A cet effet, on comprend que la mort est une étape incontournable de l’existence, tout comme la nuit en est une des vingt quatre heures d'une Journée.  Qui peut exister sans mourir ? Une période où ce corps physique arrête de respirer. Une étape où le phénomène pensée se fait moins abstrait pour se confondre dans la substance de l'Être.  Les concepts du temps et de l’espace s'estompent pour être substitués par d'autres concept de de kimite jusque là indiscernable des terriens.


La mort ne saurait être une fin en soi. Elle doit être un couloir de l’existence  pour se libérer de la matière. Ce caucon qui enclave notre vision dans le phénomène. C'est un odyssée vers l' expansibilité de l'univers et sa maintenance. N’est-il pas vrai que des Etudes scientifiques ont démontré que l’Univers est toujours en constante expansion vers ce que la Myopie de l’homme dans l’étape “Vie” appelle « Expansion vers  ». Et curieusement, l’homme est toujours en constante multiplication de son espèce et en perpétuel passage vers la dimension 

"Mort".  Ce passage rime á un rapprochement plus certain de la vérité. La vérité, la destination de cette journée. La fin!

Un bon ami eut á dire un jour : “Comment l’homme l’Etre le plus jeune de l’Univers  et de surcroit perdu dans un petit coin insignifiant de la Voie Lactée a-t-il pu avoir l’audace de penser et  croire que tout tourne autour de sa conception des choses?” Qui dit mieux?

Cette interrogation pertinente m’a poussé à revenir sur le fondement de cette perception occidentale stipulant qu’une fois terminer cette vie, tout s’arrête. Sans questionner  l’importance des autres planètes. Ces innombrables soleils et  étoiles sur lesquels on a jamais mis les pieds. Pourquoi tant de milliards de Galaxies sauraient -elles existées?  Considérant si chaque détail de l’existence satisfait un équilibre, A quoi rime leur place dans l’Univers? 
Telle la voûte du ciel où le bleu de la mer se noie, la limite de notre entendement  se perd dans la vasteté sauvage de la mort. Et cette limite lui confère sa couleur  et son contenu « Noir Et Vide ». Loin d’être  la fin de tout, la mort doit être un silence mesuré dans l’exécution d'une symphonie envoutante de l’existence, une paix soutenable juste et durable de l’âme. En sommes un cesser de vivre dans les limites du materiel,  mais non Le Terminus de l’existence…

Mirvaldy B.  Joseph

Saturday, January 22, 2011

Extraits tirés du Superbe Bouquin sur l'ere Duvalier: "Haïti Dix ans d’histoire secrète" de Nicolas Jallot et Laurent Lessage

Haïti Dix ans d'Histoire secrète, La tournée de Ti-Pouch


La tournée de « Ti-Pouch »


Au palais, la complicité entre le président et son fidèle secrétaire et ami Claude-Auguste Douyonn'est pas du goût de Michèle Bennett, qui n'apprécie guère le confident de son mari. Elle ne veut plus le voir au palais, et lui demande de l'écarter. Jean-Claude Duvalier ménage son épouse. Claude Auguste Douyon se voit confier une nouvelle mission. Tout en restant le secrétaire particulier du président, il part faire la tournée des consulats à travers le monde. Un vrai bonheur pour cet homme qui revait de voyager. La chance de sa vie...
La mission de Claude-Auguste Douyon n'est pas anodine. On l'invite, en fait, à récupérer les taxes consulaires. D'importantes sommes d'argent, qui, auparavant, arrivaient directement à la banque centrale d'Haïti. Désormais, c'est cet homme, que l'on sait loyal au président, qui ramassera les billets...

La suite, Frantz Merceron l'explique : « La fortune Duvalier s'est faite sur le dos des taxes consulaires. Beaucoup de gens commencent à le savoir parce que ça, je le dis . » La combine lui est apparue peu à peu. Les ambassadeurs américains Preeg, puis Mac Manaway le mettent sur la voie. « Vous devriez supprimer les taxes consulaires. » Il fallait décoder. « Ils savaient parfaitement que ça ne rentrait pas dans le Trésor public ... » À combien s'élève le détournement?« Ça représentait une moyenne de cent cinquante mille dollars par mois. On parle de deux millions et demi à trois millions de dollars par an'. » « Tous les mois ou deux mois, Ti-Pouch -surnom de Claude-Auguste Douyon allait faire la tournée des principaux centres, ramassait l'argent, prenait -je suppose - sa part, et puis allait déposer cet argent en Suisse pour la famille Duvalier, et c'était, j'imagine, partagé entre eux'. » Limpide. Voilà comment, à partir de 1980, la famille Duvalier se constitue son magot.
Frantz Merceron se défend d'avoir touché sa part. « Je n'ai jamais été mêlé ni de près ni de loin à la fortune des Duvalier, je vous le jure. Mais, d'ailleurs, c'est tellement évident quand on connaît le système. Un ministre n'est jamais qu'un truc jetable dans le système Duvalier, c'est un employé, un fusible. » Il ajoute que Duvalier fils n'allait « pas se compromettre avec quelqu'un qui n'était même pas son ami' ».

Des affaires d'argent, il y en eut quelques-unes pendant les années Baby Doc. Au début des années quatre-vingt, un projet de complexe touristique paradisiaque voit le jour. À Labadie, au nord du pays, près de Cap-Haïtien. C'est un entrepreneur français, installé dans la région tourangelle, qui se lance dans l'affaire. Les investissements sont lourds. L'homme aurait reçu une aide d'unministère français pour environ 40 millions de francs. L'État haïtien serait également partie prenante du projet. Frantz Merceron, ministre des Finances, et Jean-Marie Chanoine qui détient le portefeuille du Tourisme ont le dossier en main. Enfin, entre deux articles, le correspondant de presse d'une agence occidentale mu-ait trouvé le temps de présenter l'entrepreneur français à quelques relations. Ces derniers cherchent des investisseurs locaux.
La bourgeoisie haïtienne est séduite par le projet. Les fonds s'accumulent. Quelques travaux commencent. Puis, un arrêt brutal. L'investisseur français est introuvable. L'homme est parti avec la caisse. L'affaire fait grand bruit, notamment chez les petits porteurs haïtiens. « Il ne se passait pas une journée sans qu'on me parle de l'affaire Labadie », se souvient François-Claude Michel ,l'ambassadeur de France, qui n'était pas encore en poste lors de la genèse du projet. À Paris, on étouffe l'affaire qui aurait donc coûté 40 millions de francs aux contribuables. Le plus curieux, c'est que le mystérieux investisseur reste introuvable. Bénéficie-t-il de hautes protections? …
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Saint-Domingue. Chaque année, plus de quinze mille Haïtiens s'expatrient durant six mois de l'autre côté de la frontière. C'est la période de la récolte de la canne à sucre. La zaffra. Un travail saisonnier, rentable pour le gouvernement haïtien, qui reçoit des dividendes de l'Etat dominicain et des compagnies sucrières nord-américaines pour chaque contingent de main-d'oeuvre. Quelques jours avant le début de la zaffra, la radio nationale diffuse des messages appelant les hommes en âge de travailler à s'inscrire sur les listes d'embauche. Des « rabatteurs », en fait des tontons macoutes, parcourent les bidonvilles. Promesse d'embauche et appât du gain encouragent au départ. À la Croix-des-Bouquets, à l'est de Port-au-Prince, se forment de longues colonnes humaines. Le premier contrat d'embauche de ces travailleurs à bon marché remonte à 1952. C'est ici que, en file indienne, les candidats à la zaffra attendent leur départ pour la République Dominicaine. Entassés dans des camions bâchés, les coupeurs de canne rejoignent Malpasse, la frontière, où ils sont « pris en charge » par les autorités dominicaines. Ils sont alors emmenés vers différents bateys, immenses plantations de canne à sucre, répartis sur l'ensemble du territoire dominicain.
Commence pour ces hommes l'enfer des bateys. La réalité est bien différente des messages prometteurs et enchanteurs diffusés sur les ondes. Ils vivent, parfois, à six ou sept dans une pièce unique, dans des baraquements de tôles et de planches. Chaque matin, à l'aube, ils se rendent aux champs couper la canne. Les esclaves sont toujours noirs '.
Sous un soleil de plomb, armés d'une machette, les coupeurs haïtiens font lentement reculer la verte muraille. Les méthodes de récolte ont peu évolué depuis trois siècles. Le sort des braceros n'est guère plus enviable que celui des esclaves qui trimaient sur les plantations des colons français. Le rendement est indispensable. Les gardes veillent et sur-veillent. Un travail de forçat pour un salaire de misère. Dans ces camps, ils doivent tenir six mois. À terme, les travailleurs retournent au pays s'ils ont amassé suffisamment d'argent. Sinon, ils sont condamnés à rester là: 300 000 Haïtiens se sont définitivement installés en République Dominicaine. Ce commerce est lucratif pour le gouvernement haïtien qui loue ainsi les muscles de son peuple à raison de quelques dizaines de dollars par tête. Une entreprise qui, selon Antonio Veras, un avocat dominicain, tient plus de la déportation que de l'émigration traditionnelle vers le marché du travail.
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Depuis son accession à la présidence, le pouvoir de Jean Claude Duvalier est fondé, comme l'était celui de son père, sur deux forces qui se neutralisent, les militaires, d'une part, et les miliciens,tontons macoutes, d'autre part. ….
Dans les années quatre-vingt, les rivalités qui s'exacerbent créent une nouvelle donne. « Il y avaittrois types d'ambitieux autour du président. Tous d'ailleurs ministres d'État, tous s'appuyant sur des stratégies différentes. Tous évidemment en guerre ouverte contre les deux autres groupes ' », raconte Frantz Merceron.
Un premier clan a pour chef Roger Lafontant. Ministre de l'Intérieur et leader des macoutes, ce médecin, impulsif et autoritaire, s'impose comme l'homme fort du régime. Tous les Haïtiens le craignent. Extrêmement puissant, ses ambitions présidentielles ne font aucun doute. L'homme compte cependant de nombreux ennemis, notamment parmi les militaires qui le haïssent, et qui vont tout entreprendre pour lui barrer l'accès au pouvoir...

Alix Cinéas, l'un des ministres d'État de Duvalier, est à la tête d'un deuxième clan. Il représentel'aile dure du duvaliérisme, ancrée dans le noirisme. Un groupe qui méprise totalement la « déviation » de Jean-Claude depuis son mariage. Puissant et intelligent, Cinéas, ingénieur diplômé en France, a de fortes attaches avec les militaires.
Un troisième groupe s'articule autour des ministres d'État Jean-Marie Chanoine et Frantz Merceron. Ces deux hommes s'entendent comme deux complices, ce qui ne manque pas de surprendre dans un pays où les alliances sont souvent fiées à la couleur de la peau. Merceron, le Blanc, met souvent en avant son complice, Chanoine, le Noir, qu'il qualifie d'« animal politique pur ». Diplomé en droit et en sciences politiques de l'université de Montréal, l'homme est pourtant moins volubile que son ami, ministre des Finances, et élément tout aussi brillant, formé aux États-Unis. Les deux hommes comptent parmi leurs proches Théodore Achille, ministre de la Justice, et Jean-Robert Estimé, le ministre des Affaires étrangères. Pour autant, cette fine équipe ne représente pas aux yeux du peuple l'alternative démocratique qu'elle entend incarner.

Tuesday, January 18, 2011

“L’exil Est Un Reve De Retour Glorieux...”. Par Mr. Billy Nelson.

***Les LETTRES REPUBLICAINES, La Partie Editoriale De La TRIBUNE DE LA JEUNESSE HAITIENNE.


"L’exil est un rêve de retour glorieux. L’exil est u...ne vision de la révolution…C’est un paradoxe sans fin : regarder devant soi en regardant toujours derrière soi. L’exilé est une balle jetée très haut en l’air. Elle reste là, gelée dans le temps, transformée en photographie ; négation du mouvement, suspendu de façon impossible au-dessus de sa terre natale, l’exilé attend le moment inévitable où la photo doit se remettre en mouvement, et la terre réclamer son bien…Pour l’exilé, la paranoïa est une condition préalable de survie…L’exil est un pays sans âme…En exil toute tentative d’enracinement est vue comme une trahison : c’est un aveu d’échec…"

Salman Rushdie.

Si l’exilé attend le moment inévitable comme la terre de réclamer son bien; il parait que Mr Duvalier est revenu dans son pays avec la même élégance qui a vu son départ. En effet, le 7 Février 1986, seulement le Président de l'époque pouvait de son plein gré laisser le pouvoir; il n'était pas forcé à s'exiler...il avait choisi de s'exiler comme il l'avait si bien dit pour « éviter un bain de sang ». Il faut regarder les forces qu'ils y avaient en présence en ce moment...trois mille tontons macoutes armés pour la plupart de fusil galil, quarante milles miliciens la plupart armée et une armée dévouée à la solde du Président...en face il y avait une population divisée mais manipulée par l'église, et une communauté internationale jalouse des réussites économiques de l'Etat Nègre. Si Mr Duvalier avait de son propre gré laissé Haïti après avoir formé un conseil de gouvernement pour assurer la continuité des affaires de L'Etat; il est indéniable qu'il a aujourd'hui le plein droit d'y retourner...Et, étant donné qu'il continue de jouir de ses droits civils et politiques; il peut préparer son éventuel retour à la magistrature suprême de l'Etat.

Haïtiens voulez-vous un retour de Mr Duvalier à la tête de L’Etat ? C’est une question que vous devriez répondre avec seulement votre bulletin de vote si, réellement en Haïti la politique se faisait démocratiquement et non démagogiquement. Pourquoi il y a des haïtiens qui se sentent choquer parce qu’un autre haïtien est de retour sur sa terre natale ; lorsqu’ils sont bien imbus que la loi mère bannisse l’exil. Ah, Ils ont peur de l’émergence de Mr Duvalier ; vu qu’ils n’ont rien réalisé dans ce pays depuis plus de vingt-cinq ans. Leur bilan ne joue pas en leur faveur. Assurez-vous Haïtiens, si le séjour s’avère permanent, ils vont jouer la carte de l’arrestation et de l’intimidation. Peuple Haïtien, ce combat n’est pas le vôtre.

La présidence de Mr Duvalier vous a fait plus de bien que de mal. Ne prêtez pas attention aux médias locaux et étrangers. Le passé est mort et enterré. Laissez les victimes et morts durant son passage au pouvoir ensevelir leurs morts. C’est pas un cri pour oublier les méfaits de ce régime car comme le dit Paul Eluard « un crabe, sous n’importe quel autre nom, n’oublierait pas la mer » ; mais sachez que l’heure est plus grave que les remontrances. Ne retardez pas la lutte contre le choléra par vos manifestations. Peuple Haïtien, ouvrez vos bras pour accueillir les Aristides, Cedras, et autres exilés …Car, il ne faut pas oublier que la calamité du douze Janvier avait emporté pour l’au-delà duvaliéristes, aristidiens, lavalassiens, levantins, bourgeois traditionnels, progressistes, gens ordinaires, journaliers, militaires…le moment est à la concertation parce qu’il y a, à la fin des combats politiques un pays Haïti qu’on doit coute que coute réparer, remembrer et assurer le respect.

JEUNESSE HAITIENNE!!! vous qui aujourd’hui représentez plus que la moitié de la population, 65% moins de 25 ans, vous qui avez fréquenté les grandes écoles et universités, vous qui êtes munis du savoir, vous qui êtes vigoureux, vous qui vivez à l’extérieur du pays mais qui aimerairiez vieillir en Haïti, vous qui êtes des déçus de L’AVALASSE, vous qui êtes fou d’amour pour votre pays, vous qui êtes dans la pauvreté, vous qui vivez dans l’opulence, vous qui rêvez d’apporter votre pierre dans l’édification de l’Haïti de demain ; veuillez à ne pas dire comme Louis Aragon « comme il a vite entre les doigts passé- le sable de jeunesse- je suis comme un qui n’a fait que danser surpris que le jour naisse, j’ai gaspillé je ne sais trop comment la saison de ma force. » Ainsi, à l’instar de Toussaint Louverture qui avant la cérémonie du Bois Caïman avait lancé un cri de regroupement.

Aujourd’hui, la TRIBUNE DE LA JEUNESSE HAITIENNE vous demande votre affiliation et plus encore votre inconditionnel dévouement ; car l’heure est plus que grave. Si le nom de la TRIBUNE DE LA JEUNESSE HAITIENNE n’est pas encore parvenue jusqu’à vous, ayez l’assurance que dans un avenir pas trop lointain il va vous toucher…car le vent de la division atteint son apogée.

Ayez dans votre esprit que la TRIBUNE DE LA JEUNESSE HAITIENNE n’est pas intéressée par votre origine sociale ou votre appartenance politique, il se soucie seulement de votre sincérité, votre intégrité, votre amour de la patrie, votre délégation à servir, votre engagement dans le progrès d’Haïti. Assurant de votre adhésion, La la TRIBUNE DE LA JEUNESSE HAITIENNE demande à la classe politique actuelle de préparer le renouveau d’Haïti ou bien continuer à se servir d’elle. Eternels leaders politiques d’Haïti, vous avez cinq ans avant la nouvelle échéance pour continuer votre ballade ou favoriser une transition souple pour la génération soixante-dixarde…advienne que pourra. Car, votre classe politique, de même que les dirigeants des ONGs qui profitent de la souffrance du brave peuple haïtien…vous allez bientôt appartenir à l’histoire du pays.

A Bon Lecteur Salut, Il a écrit.

Paroles d’un Soixante-Dixard:
Billy Nelson, Conseiller Politique de la T.J.H.
pour la TRIBUNE DE LA JEUNESSE HAITIENNE.
Tribune De La Jeunesse Haitienne/Facebook.com

Friday, January 14, 2011

Lettre aux Étudiants haïtiens en République Dominicaine. par Jn R. Robert

Je ne crois pas qu’on s’est présenté, car j’ai laissé notre chère mère Haïti bien avant la naissance de la plupart d’entre vous. Je travaillais, peut-être comme vos pères, dans les bons temps, dans les mêmes compagnies de renom que possédait notre si fière nation ; que se soit dans leurs bureaux ou leurs merveilleux champs menus d’une verdure digne de pays caribéen bercé sous un ciel bleu, où le soleil cherchait toujours son refuge du plus tôt du matin, à midi, et s’emparait de la paresse vespérale et ne voulait nous laisser que sous la pression de l’éblouissante lune. Je vous parle des temps où les touristes de partout n’avaient qu’une seule destination que dans nos magnifiques baies d’eaux si bleues, de sable si blanc et chaud qu’on croirait être dans un oasis au bon milieu d’un paradis qui serait déjà le superlatif de l’oasis.

Hélas ! Mes compatriotes se laissaient emportés par l’amour de l’argent et d’autres maux que vous et moi connaissons, et d’ajouter les catastrophes naturels ou pas, pour donner le dégout à la vaillante jeunesse et la marginaliser comme des bettes. Bref. J’ai du prendre la route vers l’Est, car on nous mettait à la tête que la manne y tombait.
Une fois arrivé, loin d’être l’histoire des Hébreux au désert, moi et mes compatriotes en quête de cette nourriture, une légion guidée par le mauvais ou bon destin, étions obligés de livrer nos courages pour la prospérité actuelle du pays voisin au détriment d’une rémunération, très peu mais acceptable, qui, à l’accumulation, suscitera la jalousie des fils des autres deux tiers de l’Hispañola.  Mes frères et moi étions et sommes toujours prêts à mettre les mains là où les faux blancs considèrent être dégradant et accepter le minimum du salaire minimal d’un blanquito ordinaire.

Nombreux sommes-nous à avoir perdu membres, doigts ; ils sont aussi légion les décapités, violés, poignardés, maltraités, accusés faussement, torturés… rien que parce qu’on a accepté l’esclavage moderne qu’eux-mêmes ont refusé. Le fameux, feu-mais-contemporain, auteur des contes, en 1943, a remporté sur la terre de Fidel, un prix pour avoir si bien témoigné le vécu de mon frangin, l’homme du Batey de la colonie de Josefita. Laissons tomber, car pourrait-il que vous n’avez accordé, sans doute aucun, l’attention nécessaire quand dans les universités on mentionnait le nom de Louis Pierre dont les presque-muets déformeraient en Luis Pié. Pour être court, dans ce récit,  l’auteur nous a légués la parfaite injustice rien que pour embellir les bibliothèques de Genève dans le rayon réservé aux philanthropes, à quelques livres près de la charte des droits de l’homme.

Alors, vous, les pistons de l’engin du futur, je vous écris non pas pour vous conduire aux bras de Morphée, mais si votre conscience est touchée et si vous aurez terminé de lire cette lettre, vous auriez découvert que je suis, comme vous, humain, méprisé, maltraité, déshumanisé par ce peuple barbare qui se croit supérieur au nôtre. Et si cette même conscience est bien taillée, vous aurez à ignorer Voltaire quand il a écrit dans le Fanatisme que la Patrie est aux lieux où l’âme est enchainée, et aussi, ignorer l’auteur de « Dialogue des morts »… mais vous vous aurez à mettre à la tête que l’exilé partout est seul, comme a dit Félicité de Lamennais, et qu’il n’y a d’amis, d’épouses, de pères et de frères dans sa vraie Patrie.

Somme toute, je vous remercie d’avoir pris le temps, malgré l’inflexibilité de votre horaire, de lire ces lignes. Sachez que je n’attends pas de réponse, mais si jamais vous avez besoin de mon expérience ou de quoi que ce soit, vous savez déjà où me trouver : je suis le sans-papier que vous et vos amis rencontrez sur vos chemins tous les jours et vous oubliez de saluer.
Sincèrement vôtre,
                                                Yan Pié.
Le jour qui suit l’an de la destruction.

Par  Jean Reynald Robert

Monday, January 10, 2011

En Haiti, Une nouvelle gaffe de l'OEA et La Comédie Continue!


Ce matin , je n'étais pas sans étonné de lire  sur les journaux ce nouveau titre á sensation:
Les observateurs internationaux de l'OÉA (Organisation des états américains) recommandent l'exclusion de Jude Célestin au second tour.”
Maintenant ils veulent que Jude Celestin soit radicalement éliminé du second tour et que le candidat arrivé troisième, Michel Martelly, se retrouve au second tour contre l'ancienne Première dame Mirlande Manigat.
Cette nouvelle est tombée telle une "soupe-joumou" au premier Janvier. Tant elle est savourante pour l’opinion publique.
Cependant, j’étais encore plus surpris de remarquer que moi, contrairement á l’opinion publique, j’en était choqué.  Choqué non parce que j’étais frustré devant cette supposé requête d’exclusion du candidat Jude, mais plutôt de voir la façon avec laquelle cet arrogant Organisme International s’offre le luxe de  jouer, á sa guise, aux dés avec le destin et la démocratie d’un pays.  Et pis encore, frustré devant le plein pouvoir á sous-estimer l’autorité d’un Gouvernement (Gouvernement d’Haiti).  Car  une telle filtration au public avant même l’appréciation du gouvernement sur le dossier,  c'est l'affronter, le mettre  au défi et devant le fait  accompli…   Et ce, en dépit de  la grande sensibilté du dossier dans cette conjoncture si précaire. Et cette autorité onusienne, dans sa pertinence infantile, va juqu'á déclarer : « Il sera très difficile pour Préval d'ignorer cette recommandation ». Suposons que le gouvernement (comme l'auraient fait un Castro, Ahmadinejad ou un Kim Jong-il) décide de garder sa face (face du diable ou Non) s'appuyant sur ce proverbe créole : "Animal nan mal net li nan mal net" ( Etant déjá dans le mal, rien ne changera, ainsi sera)... Qu'est-ce qui arrivera?  Qu'est-ce qui se passera á ce petit peuple, la victime perpétuelle?hmmm

Par lá, j’estime que L’OEA n’a aucune raison voire droit de laisser filtrer une telle déclaration en publique(si ce n'est qu'intentionnelle), d’autant plus que son rôle est “Observateur et Coopérateur”  et non décideur encore moins donneur de leçon.
Je vais encore même plus loin car je suis confus. Je me demande si L’OEA n’est pas entrain de nous jouer  un mauvais tour, quand cette même organsation, le lendemain de l’élection sans gêne avait déclaré, par le biais de son envoyé special  Colin Granderson, chef d’une prétendue mission d’observateur, je répete monsieur :  “La mission ne pense pas que ces irrégularités, aussi sérieuses soient-elles, invalident les élections." Par conseequent l’election a été juste et valide. Une déclaration qui avait consolidé le pouvoir en place dans son désir  de continuer á giffler le peuple des pertinences de ses élection-selctions bidon et á trôner en maitre et seigneur sur son cheval de Troie vers un 7 Février assuré et calculé.


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 De lá, il faut comprendre que cette mission, contre tout et malgré tout,  avait consenti á valider ces élections, fermant á volonté ses yeux sur toutes les  immoralités, malversations et bêtises flagrantes qui ont caracterisé cette violation sanglante du fameux dimanche 28 novembre 2010. Et voilá maintenant, elle a l’audace de nous demander de valider les élections sans valider les résultats.  C’est á faire rire! Mais, ça blesse l’intelligence et froisse l’ardent désir á se sentir orgueuilleux d’être Haitien. 
Comment se fait-il que, jusqu’á présent, nous ne pouvons pas nous rendre compte que ces ennemi-amis n’ont pas la capacité de penser pour nous, puisqu’ils ne nous connaissent pas  et ignorent tout ce que je pourrais appeler l’Ame haitienne. 
Peut-être bien qu’en réalité, ils sont sinceres dans leur démarche á vouloir nous aider mais une chose est sûre, ils n’ont aucune idée sur la nature et la fondamentalité de nos problemes et de nos intérets et non plus n’en manifestent pas le moindre desir d’en savoir.  Ils sont pressés.

La situation s’explique comme ce malade qui part consulter un médecin, et ce dernier  trop pressé,  ne juge pas nécessaire de s’enquérir sur les motifs du problemes, et commence á diagnostiquer et conclure ses prescriptions.  Ignorant et stupide, le malade recoit le diagnostic comme une parole d’évangile et se rejouit en repartant. Il se procure des medicaments et les prend fidelement selon les indications. Et qu’est-ce qui arrive?  Les Médicaments agravent le probleme et en créent d’autres! Le malade trop satisfait des méthodes de son fameux médecin décide d’y retourner, encore et encore et encore… Et le même processus se répete Encore et encore!
“C’est le cas d’un malade fou et d’un faux- médecin charlatan!”
Je n'entends pas cautionner la nature ou la sagesse de la decision, “Est-ce  une mauvaise mesure? j’en doute fort.”  Mais le probleme c’est qu’il est irresponsable de la part de l’OEA de filtrer une telle déclaration, encore moins en publique et le pire avant même d’en avoir discuté au gouvernement et aux principaux acteurs du conflits. Ces démarches se réalisent selon des protocoles diplomatiques car elles pourraient être  des bombes á retardement.
Ceci requiert une certaine gallantrie politique dans laquelle la souverainté nationale déjá débile ne serait aussi flagrantement bafouée (Car il faut pas oublier qu’il s’agissait du résultat (bon ou mauvais) d’une “élection”). Pourquoi OEA n’avait pas opté á inviter les trois candidats á une réunion á huis clos, sans couverture de la presse , au cours de laquelle elle aurait libre court  de demander et jusqu’á faire pression sur Jude de concéder au compromis . J’en suis sur qu’ils auraient pu trouver suffisamment de dossiers flou dans son passé pour l’intimider.
Ils savent pertinemment que ces mesures doivent se prendre apres un pourparlers avec les candidats au cours duquel on les pressure á se retirer eux-même avec des messages de paix et de compromis. Et les autres candidats auront pour devoir non pas de crier au triomphalisme provacant et frustrant sinon applaudir ce fair-play programmé, ce courage et ce désir apparent pour l’avancement et la stabilitee du pays. C’est ainsi que ça se fait dans les pays  de democratie mature et de souverainté solide. Voilá comment eux, ils le font dans leur propre pays quand il est question de conflit dans les élections.
Telle démarche serait sans nul doute plus néccessaire pour le  moment et plus profitable á ce peuple  qui déjà souffre et meurt inocemment dans une lutte qui  lui est étrangere  et qu’ en aucun cas il ne saurait sacré gagnant sinon Victime et perpétuelle victime.
Ceci doit nous servir de leçon pour comprendre que ces organisismes internationaux, en temps de crise, jouent rarement au profit des nations sinon á leur propre bénéfice, lequelle consiste en générateur de nouvelle crise de la que découlera leur prochaine mission. Si il n’y pas de crise, il n’y aura pas de mission spéciale et encore moins d’OEA dont l’existence et l’importance  s’apprécient  d’ailleurs autour de ces conflits.  Comment ne pas voir que cette filtration est une déclaration intempestive, de guerre et provocatrice. Une manque de responsabilité, une atteinte á notre souveraineté, notre intelligence, notre démocracie et susceptible de déclencher une nouvelle crise d’affrontement pour la célébration de la premiere année du séisme.
En nous j’ai pu voir non seulement cette histoire du “Malade-fou et du faux-médecin” mais aussi celle de ce sot-client qui demande d’être assessoré  par ce rusé- Banquier sur la necesité et le desir de retirer tout son Argent de la Banque de celui-ci, et ce pour aller á une autre…
Mes frères, la solution doit partir de nous, de notre dialogue et de notre compromis avec nous-même.  Cessons de jouer l’adversité par la force,  et  défaisons-nous de ce caractere triomphaliste qui caractaerise nos luttes en politique,  caractere qui blesse et fruste les protagonnistes. Arretons de compter sur ces organismes internationaux, qui sont des faux-médecins et des ruse- banquiers. De part leur nature, ils sont incapable d’avoir des solutions á résourdre ces problemes. Regardez en Côte d’Ivoire, Somali, Sudan, Palestine, Afghanistan, et même plus loins le génocide de Rwanda.
Il faut travailler á leur faire comprendre,  sans heurts ni arrogance qu’ils sont des alliés-partenaire, avec qui le contexte globaliste du monde nous impose á travailler, et ce á trouver nos “propres” solutions et par nous-même. Bien sûr que nous sommes disposés á écouter leur conseil mais non sur cette forme paternaliste neo-coloniale de décideurs et de chariteurs de solutions bidon et arrogantes des dossier dont, maladroitement ils ne font qu'á aggraver.

Je sais que tout ce que je viens de dire lá, ne sont que des cris au Coeur du Sahara! D’ailleurs Qui suis-je du haut de mon ignorance pour que mon écrit soit pris au sérieux!
Mais je le dis,  Une erreur de plus a été commise pour une nouvelle crise…
     A Bon lecteur, Salut!

Mirvaldy B. Joseph 


        
      Lisez ceci: http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2011/01/10/013-haiti-celestin-oea.shtml

Sunday, January 9, 2011

Réflexion sur la Vie

« En apparence, la vie n'a aucun sens, et pourtant, il est impossible qu'il n'y en ait pas un ! » Albert Einstein



La vie, un Tout qui s’engouffre dans l’incompréhension de l’humain  pour garder sa noblesse et assurer la relativité de la vision de l’homme indispensable á la survie de son énigme et cohérent á l’harmonisation de son dessein.

On se perd souvent en conjecture sur l’appréhension des grandes lignes de la vie pour finir par se rendre compte que plus on y pense moins on accède la hauteur de discerner son essence puisqu’elle est absolue et que la démarche de notre pensée est relative.

Alors, pourquoi oserait-t-on  penser avoir changé son chemin, quand pertinemment le choix dans la vie n’est que fictif et pourvoyeur d'illusion, vu que littéralement on n'en a eu aucun, et si réellement on en avait eu un, on aurait "choisi" de changer les alternatifs. Du coup, des phénomènes arrivent et repartent. Aucune idée sur leur provenance, aucune idée sur leur destinée voire leur motif.  Et son avis n’est jamais demandé car il ne revêt d’aucune Importance.

Mais malgré tout,  on est toujours confiant qu’un bel avenir nous attend jusqu’au jour enchanté ou désenchanté on fait connaissance du Mr  “Mon-avenir”. Tel le jour du dévoilement d’un jeu de correspondance, soit on est satisfait car son instinct a deviné vrai, soit on est déçu ou résigné!
Sans deviner qu'au fond très peu dépendait de soi.
Peut-être qu’on dira pourquoi on n’avait pas opté pour tel ou tel nom quand on présentait les pseudo des correspondants disponibles? Ou pourquoi on avait changé de correspondant au cours du jeu, ou même pourquoi on n’avait pas participé au jeu? Ceci n’importe et n'importera plus jamais. Vivant ou Mort, peut-être Mr “Son-Demain”, selon sa volonté ou la nécessite des faits, confessera le pourquoi… Mais une chose est sûre, chaque détail dans la vie satisfait un Equilibre et rien ne s'échappe.

Donc, La démarche de la vie s'harmonise toujours á la cadence du rythme et de la mesure de cette quête d’équilibre, qui bien souvent déçoit ou enchante l'attente de quelqu'un. C’est un équilibre qui ne se définit pas selon la logique profane ou les lexiques de l’entendement humain.
L’homme est fondamentalement relatif, alors comment comprendre et appréhender la démarche de la Vie qui est avant tout et surtout Absolue.  Ainsi que sa Justice.

Mais si on  prend sagement son temps pour penser et réfléchir.  On se rendra á l'évidence que La vie, de surcroît, se dessine en harmonie á la couleur de ce Demain dont elle seul en connait le secret vu qu’elle est un “Tout” indivisible sur son Passé, Présent et Futur, et  dont, bien évidemment, chacun de Nous  ignore les moindre détails, et ce en tant que partie d'un "Tout".

De là, la vie n’a pas dessein á satisfaire personne, sinon La survie  et l’Harmonie absolu de ce Tout.  D’où elle puise insatiablement l’essence de sa Justice et l’ironie de sa Beauté.
Je parle d’harmonie et de Beauté de ce fait, il y a lieu de comprendre que L’harmonie ne se tisse pas toujours en Symphonie. Et que La beauté non plus, ne se réside pas toujours dans l’ordre et la discipline phénoménale des choses.  Ainsi le témoigne La noblesse des œuvres de Cecily Brown ou  de  Joel Peter Witkin.

 La beauté  puise son existence et respire dans la chaleur de l'atmosphère d'une synchronisation de l'Abstrait sublime destiné á éveiller émotionnellement le Sens, émerveiller l'imagination et surtout questionner  l'entendement. Mais elle ne se coince pas dans les limites de l’ordre et des principes sensoriels ou matérialistiques*.  Aussi N'est-ce pas là littéralement ces fibres de l'Esprit que stimule la Vie.  A cet effet,  pourquoi ne serait-elle pas considérée Belle et Juste?

 Souffle de Vie! Une musicalité inaltérable qui symphonise* avec elle un désir non négociable de la garder á tout prix.  Une musicalité qui s’apprécie et nous emporte dans un voyage vers le lointain de l’imagination en quête d'un gouffre d’une explication hasardeuse pour refuge.

Mais fort souvent fatigué au cours de ce voyage, on décide de s’y adapter pour survivre et enfin on cingle son voilier vers un rivage. La rade de la Sagesse.  Dans le repos - dénué de force physique mais mûr et musclé de bon sens  et de vertu, on se met á rire des bêtises passées et de cet Espoir interminable d’un lendemain meilleur parfois satisfait mais souvent Déçu, et Carlo Gordoni de conclure "Dans cette vie, on passe le plus clair de ses jours á souffrir ou á espérer."

Si Jeunesse savait, si Vieillesse pouvait mais la Vie continue et sourit!
Vive la Vie!
Mirvaldy

Monday, January 3, 2011

Haiti In Green Project - "Green City"





General Objective:
  Fight against climatic changes, to better the health of the environment in Haiti, by the reforesting, with the help and force of the student youth community, of such country.

Resume
“Green City” is global youthful movement dedicated to the betterment of Haiti’s environment. The mission project consists of implicating youths from 13-16 years of age in the process of planting trees in some of the most rural areas in the country, palm trees and turfs, to contribute in the reforestation and protection of the environment. Before proceeding, dialogs should be established amongst the schools of primary education with the objective of bringing forth to the consciousness of adolescent youths the necessity and capacity to take initiatives in solving the problems of the community, above all, most importantly, those involving the environment and global warming. 

The project consists of various phases that will successively be realized in the different cities:

The first phase will be put into action in the month of April of the year 2011 en Cap-Haitian, a northern province of Haiti.

100 adolescent youths will be chosen from various schools of primary education (13-15 years old), with their help we will plant palm trees, coconut trees and turfs all around the city of Cap-Haitian where also we will set down a symbolic stone of appreciation, next to every tree, with the names of the participants incrusted in her.

The congressionalist schools will send forth 20 of their most intelligent students (First of their classes) or girls and boys in need but very active and engaged in school, and also there will be a selection of 20 students of other secular schools. The process will take four (4) days ( a day for each group of 25 students).

Each tree planted will carry the name of the child (in a pillar of homage the will stand next to the tree) and also it will carry the name of the child in the house exactly in front of the tree, and in the case that such house across the street is a house of business, the name of the child will be chosen by the owner of such business. 

“And the tree will be given as a gift to that child of which he will be responsible of taking care of.”

And on the last day of the activity or the fifth, the event will be sealed with a reception during which a plaque of honor will be awarded to the mayor of the city in which there, inscribed, will be the names of the 100 youths who contributed to the realization of the project.

“As Junior Citizens of Honor of the Year of the city: and amongst the most eloquent will be selected as Delegates for the protection of the environment of the City (participate in televised and radio emissions, sensibilizing the project). They will also receive formation on how to protect themselves and help during natural catastrophes, they will have, as a mission, to multiply and transmit these formations in televised and radio emissions to the general population.

We want to promote a program of volunteerism and civic compromise of the youths in their respective zones; we really need this in Haiti.

But also we want to support these young individuals engaged in their scholastic needs and permit and facilitate them to participate in International Conferences and formation through “e-learning”.

Problem and Justification

Haiti is a country where deforestation reaches an alarming rate of 98%, due to the large quantity, between 10 to 20 millions, of trees cut down every year.

According to the Haitian Institute of statistics, between the years of ’60 and today, the forestry coverage went from 20% to 1.4%.  The consequences of deforestation in Haiti are numerous and very grave for the environment. Firstly, the forestry territorial transformation in subsistence cultures, often badly united, impoverish the souls till they are transformed infertile. Furthermore, the absence of trees to retain the soul causes the country to be more vulnerable to the different inequalities of time, for example, the inundations, mudslides etc… Hence, approximately 15,000,000 square meters of mountainous soul are driven into the sea.

It is of upmost importance to keep in mind the catastrophes caused by the hurricanes and by global warming. The latter being, without a doubt, linked to deforestation, being that the insufficient number of trees is incapable of absorbing all the carbonic gas present in the air, which contributes to the green house effect. According to some specialists, such degradation of the earth will eventually bring the country to confront with itself in a phenomenal truth of desertification.  

The deforestation in Haiti is due to a general production of charcoal, to a lack of consciousness from the part of the population and, overall, to a lack of organization and integration in the process of the true productive force of the society which is the youth.

General Objective:
·      Minimize the risks of deforestation and global warming in the Haitian community sensitizing the adolescent youths to assume their role as active partisans of the country and create a consciousness that is more firm on the challenges of the environment, therefore, helping to prevent this progressive desertification of the Haitian territory.     



Specific Objectives:
·      Establish dialogs in the primary schools on the gravity of the problems caused by global warming; the necessities and the capacities of these individuals younger than 18 years to take initiatives with the finality of protecting the environment. 
·      Fill the emptiness left behind by the deforestation and in the meantime enrich the beauty of the city of Cap-Haitian by planting 400 trees in four days, within which are included: Palm trees, coconut trees and turfs.

Impact:

Ø  Increase the amount of trees made available in the different areas and cities of Haiti.
Ø  Forge an initiative of volunteerism en the spectrum of protection of the environment and global warming.
Ø  Persuade the population of their responsibility and compromise to their community, with respect to the environment.
Ø  Integrate the adolescent youths in one of the greatest challenges of the Haitian society.
Ø  Contribute to the change of various zones of the country.

Aspired Results:
 Have ready always a group of dedicated youths that will take initiatives and assume responsibilities towards the wellbeing of their community and environment.
 Dispose of a permanent group of youth volunteers for civil defense, whom are willing to collaborate to confront the challenges and problems of the environment.
 Have 400 trees planted en different areas of Cap-Haitian by the end of 2011.
 Achieve that the participating youths are completely satisfied with having contributed to the resolution of one of the many problems of their community.

Human Resources:
 Director- author of the Project: Is the author of the project. Assist reunions with different organizations of finance to present them with the project and persuade them of its importance and benefits. Arbitrate the decisions with the participation of the rest of the members; Assure that every one of them is capable to assume the function that is attributed to him/her, for the well functioning and further development of the project.

Administrator and Funds director: Whose roles consists in planning, organizing, directing, controlling and integrating the members under the same objective, so therefore everything is achieved as foreseen. He/she is also responsible for the administration of funds designated to the project.

  Delegates and Coordinators of the project: He/she assists the reunions en case the director is unable to be present. He/she is also in charge of directing and coordinating the efforts of the members and driving them toward a common, determined, objective.

v International Delegates: Represent the project at an international level and are in charge of obtaining aid, be that it may be, financial or materials, at the international level: Argentine, Mexico, USA, Venezuela, etc…

 Public Relations (Responsible for contacts and Aid):  Their role consists in defending the project at the national level in front of the possible financing organizations. He/she is in charge of administrating the processes of communication and making sure that the public opinion and image corresponds with the project.

 Secretary: Is in charge of communicating to the members the different reunions, both ordinaries and/or extra-ordinaries, make appointments, redact letters of solicitation of financing or participation in the project.  He/she is also in charge of taking notes in all the reunions and archiving all of the important data related to the project.

 Team manager:

 Graphics Designers: Are the ones who design the symbols and logos affiliated with the project, and the websites who represent the culture of the members of the project.